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Cosmétiques au romarin

Affaire du contre amiral Joseph FOUDA et MBAPOU : Vérités et contre-vérités

Dr Olive NGOBO épse Mouthe DJYA dans l'affaire du contre amiral Joseph FOUDA et MBAPOU a donné un point de presse ce jeudi 18 octobre 2024 à Yaoundé immeuble Caution bancaire pour présenter sa version des faits.


Qui est Dr Olive NGOBO épse MOUTHE DJYA ?

Dr Olive NGOBO épse MOUTHE DJYA est née le 16 Avril 1985 à Yaoundé, issue d'une famille 7 enfants dont elle est l'aîné des filles. Fille d'un sous-officier supérieur à la retraite, originaire de la région du Littoral et de culture académique anglo-saxonne. Elle est diplomate de formation et suite à un emploi à l'international notamment au sein des Nations Unies, elle s'intéresse à la diplomatie (coopération) militaire ce qui lui vaut un stage de formation  organisé par la CIA. Ensuite elle a fait un master en sécurité intérieure, gestion des crises et défense nationale aux USA. Ce qui lui a permis de faire son doctorat en relation internationale, stratégie et sécurité. Mais en 2015, c'est l'État du Cameroun qui tend le bras à sa fille pour revenir afin apporte ma modeste contribution face aux défis sécuritaires dans la lutte contre BOKO HARAM. Comme toutes les armées, il y a toujours du personnel civilqui apporte son expertise aux côtés du personnel militaire. Ainsi au ministère de la défense, j’ai travaillé sur le projet Delta Alpha  et parmi mes collaborateurs le colonel à la retraite en charge de la communication et porte-parole de l’armée s'est avéré être un bourreau car j'ai  été victime d'une tentative de viol, ce qui du reste a été banalisée par la hiérarchie pourtant sans être écoutée pourtant la victime, j'ai été sanctionné à l'époque. J'ai perdu mon emploi et c'est ainsi que j'ai déposé ma plainte. Contre toute attente, je suis rappelé à retrouver mon poste au cabinet du ministre de la défenseplus précisément au sein de la division du secrétariat militaire, service du protocole et des cérémonies militaires.


Comme un crime n'est jamais parfait, en 2020 les forces obscures reviennent à la charge et mes bureaux sont mis sous scellés pour motif que je fais dans la vente d'armes à feu et munitions. Chose curieuse aucune arme ou trace d'armes ne fut trouvée dans mes bureaux lors de la descente des forces de l'ordre sous la conduite du Colonel Chef de la Division de la sécurité militaire (DIV/SEMIL). Me Alice NKOM a mandaté son représentant de Yaoundé Me PONDI qui était présent pendant la levée des scellés. Après ma saisine du chef de l'État par une plainte, et après mon entretien avec ses collaborateurs, j'ai été détachée à la présidence de la république. C'est ainsi qu'en 2021 je prends service mais les tentacules de mes problèmes me suivront au palais de l'unité et voilà comment je me trouve dans une affaire montée de toutes pièces.

Entre temps, il est important de  le signaler, je suis enseignante dans les écoles des forces de défense et de sécurité depuis prèsde 10 ans. On peut citer entre autres l'école de guerre de Simbock (ESIG), l’école internationale des forces de sécurité (EIFORCES), l'école d'état-major (EEM) même l'école de police (ENSP) que j'ai arrêté pour emploi de temps très serré.


Pourquoi le point de presse sur l'affaire du contre amiral Joseph FOUDA et MBAPOU ?

« En 49 jours exactement, les gens tapis dans l'ombre ont choisi de ternir mon image en me présentant sur la placepublique comme membre d’un Gang qui a opère avec le faux profil du contre-amiral Joseph FOUDA dans un premier temps et aurait  escroqué des personnalités. Je suis une victime toute trouvée pour je ne sais quelle sale besogne. J'ai été capturée comme une fugitive en date du 31 juillet avec un mandat d'amener du parquet d'Ekounou pour une dette que j'ai soldé depuis 2022 avec preuve. Ils m'ont tendu un guète apens et m'ont embarqué de forces. Arrivée le 31 juillet à 11h, c'est à 23 heures que je suis signifié sur les raisons de mon interpellation. J'apprends à ma grande surprise que je suis membre d'un gang qui usurpe l'identité du contre amiral Joseph FOUDA. Plus grave, le contre-amiral n'a jamais porté plainte contre moi. En aucun cas, en aucun moment j'ai fait une chose pareille ou sous-traité au nom d’une personnalité. Certains ont voulu me faire la peau par un règlement de compte mais la vérité sera su de tous et les auteurs répondront de leurs actes devant les juridictions compétentes car j'ai foi en la justice pour un procès équitable.  


Plusieurs noms ont cité mais ni de près ni de loin, je n'ai eu à faire des affaires avec eux ». Ensuite, elle précise : « Je demande que Justice soit faite à la hauteur du préjudice subit. J'ai perdu une grossesse de 7 semaines, j'ai été torturé pendant ma période de détention et privé de mes médicaments. J'avoue ma surprise que le contre amiral n'ai rien fait dans le sens de confirmer ou d'infirmer ce problème d'usurpation d'identité. Mes proches ont subi et je ne peux pas me taire, je profite de ce point de presse pour interpeller mes détracteurs. Je le réitère ici encore une fois de plus, je n'ai jamais sous traité avec le nom d'une quelconque personne qui plus est une autorité malgré mes années de service aux côtés des hauts responsables.

Le lieutenant-colonel, chef du groupement territorial de gendarmerie contre qui j'ai déposé ma plainte a été mon stagiaire en 2015/2016 au CEM/DEM gendarmerie du Centreet j'étais loin de m'imaginer qu'un officier supérieur pouvait mentir jusqu'à ce que je me retrouve là. Je suis libre de mes mouvements et je remercie le chef de l’État pour cela mais mes téléphones sont encore détenus arbitrairement jusqu'à présent et j'interpelle ici le ministre délégué à la présidencechargé de la défense pour que mes téléphones me soient restitués car, ma vie professionnelle en dépend et mon manque à gagner est énorme. J'ai été détenu pendant 30 jours puis incarcéré pendant 19 jours à Kondengui pour une tentative d'escroquerie de 10 milliards avec des gens que je ne connais pas.


J'ai également déposé ma plainte contre l’homme d’affaires Jean GAKAM de Afriland First Bank pour dénonciation calomnieuse, complicité et j'attends que devant les juridictions compétentes, qu'ils viennent prouver leurs allégations. J'ai pris 39 ans pour bâtir ce que je suis aujourd'hui et les individus sans foi ni loi ne peuvent pas se mettre en groupe pour me jeter en pâture au peuple pour satisfaire leur égo. J'ai connu des préjudices moraux, physiques, professionnel, le manque à gagner (financier), matériel dans le sens large soit réparé dans le sens de l'humiliation subie sans oublier que j'ai perdu une grossesse de 7 semaines. J'ai porté plainte contre le commandant de gendarmerie le lieutenant colonel chef du groupement territorial de gendarmerie et tout ces complices ». C'est une affaire à tête chercheuse dans  laquelle il n’y a pas le plaignant et j'attends toujours du Mindef que mes téléphones me soient restitués, conclut-elle.


Ci-joint la copie de la plainte

Propos recueillis par Clément Noumsi

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