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Cosmétiques au romarin

Audience à la CDHC

La commission des droits de l'homme du barreau camerounais a été reçue en audience ce mercredi 24 avril 2024 par le président James Gabriel Mouangue Kobila au siège de la CDHC à Yaoundé.

Me Dorcas Nkongme avocate au barreau du Cameroun, vice présidente de la commission des droits de l'homme du barreau camerounais était à la tête d'une forte délégation composée des responsables des sous commissions qui a rencontré le président de la commission des droits de l'homme du Cameroun entouré de ses plus proches collaborateurs.



L'essentiel des échanges ont tourné autour de la situation  nationale des justiciables et des relations qui devraient exister entre les deux entités qui œuvrent toutes les deux pour un état de droit véritable dans notre pays.

Dans son mot de bienvenue, le président a été très ravi de cette rencontre qui aurait dû avoir lieu bien avant mais il l’a mentionné lui-même, mieux vaut tard que jamais. En tant que fer de lance de la défense des droits l'homme dans notre pays, la CDHC et la commission des droits de l’homme du barreau devraient  avoir des liens formels qui existent entre les deux institutions.

Après les échanges des civilités et la présentation des  différentes délégations, les échanges ont continué à huit clos.


Réaction


Me Dorcas Nkongme, avocate et vice-présidente de la commission des droits de l’homme du barreau


« Après deux heures d'échanges très enrichissants, nous avons commencé par présenter les activités que nous menons sur le terrain déjà. Nous avons aussi évoqué la collaboration avec la CDHC. Les grandes lignes de notre collaboration seront les dénonciations que nous allons faire, la protection et la promotion des droits sur le terrain,  nous référer  à la CDHC à  chaque fois que nous faisons face à  un blocage quelconque. Nous avons déjà mené les actions, nous pouvons citer les actions faites lors de la journée internationale des droits de l'homme en nous rendant dans les établissements scolaires où  nous avons distribué la déclaration universelle des droits de  l'homme et poser des affiches dans les salles de classe. Et lors de la journée internationale de la femme, nous avons choisi quatre villes Garoua, Bamenda, Douala et Yaoundé où nous avons parlé de la CDEF pour évoquer l'élimination de toutes discriminations à l'égard des femmes. Nous avons aussi utilisé le protocole de Maputo que nous avons distribué, bref nous avons plus fait dans la promotion des droits de l'homme ».

 

Clément Noumsi

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