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Cosmétiques au romarin

Impacts sociaux des projets de la BAD au Cameroun



Apprécier la plus value des investissements de la BAD


C'est l'objet de la rencontre qui a eu lieu au siège de l'institution panafricaine à Yaoundé mardi 9 Avril 2024 entre Mme Marie Louise Akin-Olubagde née Ndongo-Seh et les jeunes (hommes et femmes) ayant  bénéficié d'un stage dans les différents projets financés par la BAD dans le cadre de son accompagnement de l'État du Cameroun dans sa stratégie nationale de développement SND30 qui visent à la transformaturelle de l'économie nationale dont l'un des piliers  est le developpemnt du capital humain. En visite de travail au Cameroun depuis lundi 8 Avril 2024, Mme Marie Louise Akin-Olubagde née Ndongo-Seh était au minepat pour passer revisiter l'ensemble des projets sous financements de la BAD au Cameroun suivi d'une audience accordée mardi 9 par  premier ministre à l'hôte de marque du Cameroun qui prendra part l'inauguration du nouvel immeuble siège de la sous région Afrique Centrale au quartier Golf à Yaoundé ce vendredi 12 Avril 2024.


Réaction



Mme Marie Louise Akin-Olubagde née Ndongo-Seh, vice vice-présidente du groupe de la BAD chargée du développement régional, de l'intégration et des prestations de services


« Nous avons eu cet après-midi une séance d'échanges avec des jeunes gens (hommes et femmes) pour beaucoup bénéficiaires des projets qui sont financés en accompagnement des autorités  camerounaises. Cela a été effectivement une occasion d'échanger sur les aspirations, sur les souhaits de ces jeunes par rapport à l'accompagnement qu'ils souhaiteraient voir la banque développer davantage.

Nous avons des projets qui sont mis en œuvre et qui concernent l'employabilité des jeunes, la formation professionnelle de ces derniers et nous avons aussi développer des actions qui consistent dans le cadre des projets qui sont mis en œuvre par des agences d'exécution pour la mise en œuvre des projets de la BAD, des opportunités d'accueillir des stagiaires qui viennent pour des périodes qui peuvent aller jusqu'à 12 mois et qui constituent la première immersion souvent dans beaucoup de cas de ces gens dans le milieu professionnel.  

Il y en avait plusieurs cet après-midi et qui nous ont posé des doléances qui concernent la  possibilité qu'ils puisse nous être recrutés dans le cadre des emplois qui pourraient être disponibles y compris dans des structures au sein desquelles ils ont fait leurs stages.  

Il est parfaitement envisageable de donner dans une certaine mesure une priorité aux jeunes qui ont été formés pendant un an par exemple. Nous avons eu des doléances concernant l'extension de cette durée de stages comparativement à la durée du projet, et je voulais vraiment souligner le caractère unique de cette expérience  camerounaise qui a été faite que nous entendons développer davantage dans plus de projets parce que nous avons environ 250 jeunes qui ont pu bénéficiés déjà  de cet accompagnement, certains après ont continué avec des certifications dans les domaines dans lesquelles ils avaient effectués leurs stages et il y en a aussi beaucoup qui souhaiterait créer des entreprises.


Nous avons également parlé de cet aspect et notamment l'aspect financement des projets portés par des jeunes, c’était une forte demande qui a été exprimée cet après-midi et nous avons eu l'opportunité de préciser quelques modalités qui pourraient être éventuellement utilisées. Et nous avons également parlé à des jeunes femmes, chefs d'entreprises qui nous ont parlé des principales contraintes et des tracasseries pour l'accès au financement,  aux conditions avantageuses ».

 

Clément Noumsi

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