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Cosmétiques au romarin

La plume Gabonaise est présente au SIILY

 

Le Révérend Jean H. TATY MAVOUNGOU, s’exprime sur les raisons de sa participation.

 

Afrique en éveil : quelles sont les raisons de votre participation au Siily ?

 

Jean H. MAVOUNGOU : Je suis auteur de deux livres, le premier, combat spirituel, le second c’est l’église et la richesse, je suis venu assister à ce grand salon international du livre, d’abord pour participer au partage de la connaissance, mais aussi participer à cet environnement qui permet aux gens de tisser des liens, des relations, par ce que c’est la première fois que je viens participer à un salon, mais ça a permis de découvrir qu’il y’a plusieurs pays qui y participent et à travers ce salon je peux nouer des relations d’affaires

 

Afrique en éveil : Comment se porte la plume Gabonaise ?

 

Jean H. MAVOUNGOU : Elle se porte bien comme toutes les plumes de l’Afrique centrale. Nous savons que les africains n’ont pas cette culture de de la lecture, il revient à ceux qui produisent et écrivent, par ce que le livre est un produit, qu’il faut s’adapter au goût du consommateur et nous savons que c’est là où se trouve la véritable difficulté de la plume africaine. De plus en plus les jeunes sont totalement détachés de notre culture et la plupart des livres que nous écrivons parfois traduisent nos réalités traditionnelles, alors que nos jeunes ne s’intéressent plus aux réalités traditionnelles, il s’agira pour nous de faire en sorte qu’il ait cette mixture entre la tradition et le goût de la jeunesse que le livre devienne plus intéressant et pour encourager la jeunesse à lire.  

 

Afrique en éveil : votre plume connait-elle une certaine diversité ou alors elle uniquement centrée sur les questions de spiritualité ?

 

Jean H. MAVOUNGOU : Je suis diversifié et je voudrais préciser que les gestions de la spiritualité sont à la base de l’existence. Nous devons savoir que la connaissance elle-même elle est spirituelle et que celui qui néglige les gestions de la spiritualité néglige aussi les gestions de la normalisation de la cité, et c’est pourquoi nous sommes partis à la base pour expliquer aux hommes présents dans le combat spirituel, que tout être humain, la vie elle-même n’a de sens que dans le combat spirituel, celui qui refuse de combattre refuse de réussir.

 

 

Propos recueillis par Bertin BIDJA

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