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Cosmétiques au romarin

Sécurité routière et pollution en Afrique centrale : Concertation au sommet pour un cadre juridique et environnementaliste pour les véhicules d’occasion.

L'importation des véhicules d'occasion en zone sous régionaleest la cause de nombreux accidents de circulation  sur nos routes mais aussi de la pollution de l'environnement, car plusieurs véhicules d'occasion importés sont amortis par le poids de l'âge.

C'est alors dans l'optique de définir une feuille de route sous régionale pour l'établissement des normes sécuritaires et environnementales minimales pour les véhicules d'occasion importés, que le secrétaire général du Ministère des transports Mveimani Sombo Amba, représentant du Ministre des transports a présidé le 9 Juillet 2024 l'ouverture de l'atelier sous régional Pour l'Afrique Centrale Sur l'importation Des véhicules d'occasion plus sûrs et plus propres à l'hôtel Star Land à Yaoundé en présence des experts Onusiens, du comité international d'inspection des véhicules, des délégations des différents pays de la sous-région Afrique Centrale.


Nos pays en voie de développement, les besoins en mobilité sont de plus en plus accrues, les travaux de cet atelier qui vont se dérouler pendant deux jours, ont pour objectif de limiter le nombre de morts suite aux accidents de circulation sur nos routes, de préserver l'environnement sain , par la réglementation mettant un accent particulier sur   l'âge des véhicules importés, leur fiscalité, le carburant utilisé et bien d'autres pour une Afrique émergente .


Pour Jean Bosco Simo Tahacam, président de l'association des sociétés agréés pour le contrôle technique des véhicules au Cameroun ASACTV  « si les véhicules d'occasion qui entrent dans notre pays respectent cette réglementation, et sont plus sûrs et plus propres, cela aura une incidence positive dans le travail que nous menons dans les centres de contrôle technique. Cela va faciliter notre travail et à coup sûr, les accidents de la route dues à des dysfonctionnements techniques vont diminuer considérablement ».


C'est un début  d'espoir, pour l'Afrique Centrale et particulièrement pour le  Cameroun par exemple où plusieurs véhicules importés ont dépassé 15 ans de vie, d'autres complètement amortis et qui enregistre un nombre très important de morts suites aux accidents de circulation.

 

Clément NOUMSI

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